ce dont on n’a pas besoin
Réfléchissons à notre comportement en tant que consommateurs indirects à l’extérieur de chez nous. Pensons aux objets superflus qui entrent dans notre vie et refusons-les : du prospectus publicitaire aux échantillons gratuits, en passant par les tickets de caisse, les sacs en plastique et les gobelets à usage unique. Le but n’est pas de blesser notre interlocuteur par ce refus, mais d’amener une réflexion sur nos habitudes de consommateurs indirects et cesser de faire croître la demande de produits qui nous encombrent (prospectus qu’on ne lit même pas, shampooing dans les hôtels qu’on n’utilise pas mais qu’on adore embarquer et stocker à la maison par exemple). Bien sûr, ce concept ne fonctionne que si l’effort est collectif.