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Inscription au défi famille de Morges 2024 :
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Non-profit association inspiring everyone in Switzerland to reduce waste.
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Ce guichet vise le zéro déchet au quotidien dans les ménages. Est-ce réaliste de ne produire aucun déchet dans la société où les emballages plastiques sont encore omniprésents? Quels sont les changements, les petits pas à faire au quotidien pour y parvenir?
Aurélie Gateaud, codirectrice de ZeroWaste Switzerland et Sébastien Humbert, expert en bilan écologique et spécialiste en cycle de vie ont été les invité-es de Théo Chavaillaz.
Replay ici
Article paru dans Zentralplus du 28.10.2023 :
La famille Vogler confirme :
“Produire moins de déchets est libérateur ! Prendre soin de nos ressources et de notre planète est l’une des tâches les plus importantes que nous ayons tous à accomplir. La protection de l’environnement et la durabilité commencent par de petits gestes – si chacun fait quelque chose, nous pouvons faire une grande différence”.
Lien à l’article en ligne
Lien au PDF
La Ville de Morges lance une campagne d’affichage concernant la réduction de déchets. Objectif : démontrer que “réparer, réutiliser, réinventer” permet d’économiser de l’argent, mais aussi d’augmenter son bien-être.
Article sur le site de la ville
Article format PDF
Prix du développement durable : les finalistes de l’édition 2023 – Ville de Nyon
Communiqué sur le site de la ville
Communiqué format PDF
Quand on souhaite aller vers le Zéro Déchet, l’une des idées qui revient souvent est d’aller vers le tout numérique : facture en ligne, stockage des recettes de cuisine dans un cloud, etc.
Attention toutefois à ne pas tomber dans l’excès inverse, car on le sait peu, mais notre vie numérique a un grand impact sur l’environnement. Il y a évidemment la consommation énergétique, mais aussi l’énergie grise qui est cachée dans nos appareils (consommation de ressources naturelles telles que les terres rares, la fabrication, le transport, etc.).
Mettre tous ses documents sur un cloud, insérer une image dans sa signature, s’abonner à des lettres d’information (qu’on ne lit parfois pas !) : tout cela a un coût pour la planète. Mais comme toujours, il y a moyen de mieux faire !
Une recherche sur un moteur de recherche (comme Google par exemple) a un coût énergétique. Une banale recherche sur Internet consomme autant d’électricité qu’une ampoule de 100 W qui serait allumée pendant 1 heure (en prenant en compte tous les ordinateurs allumés nécessaires pour générer la page de résultats sur l’écran).
Il faut donc rendre nos recherches plus EFFICIENTES et utiliser un Browser (navigateur) adapté aux types de recherche.
Firefox et Chrome ont actuellement les meilleures performances.
Aujourd’hui, 333.2 milliards d’e-mails (2022) (hors-spams) transitent chaque jour sur la toile.(source : Statista : nombre d’e-mails envoyés et reçus chaque jour dans le monde de 2017 à 2024) Quelle énergie le permet ? Si Internet était un pays, il serait le cinquième consommateur mondial d’électricité.
L’empreinte environnementale se concentre sur l’encre et le papier. Les 14% des impressions ne sont jamais lues, 25% sont jetées dans les 5 minutes après l’impression. Le 38% des volumes d’impressions sont générés par les e-mails.
En Europe, on utilise 4x plus de papier que la moyenne mondiale ! 92% de la consommation des imprimantes est liée au mode veille.
Pour aller plus loin cliquez ici.
Votez pour la Nature ! Le 22 octobre nous renouvelons notre Parlement. Pour que des changements décisifs se mettent en place, remplissez vos bulletins !
Depuis des années, l’environnement n’est pas prioritaire en politique. En tant que porteur de vie sur notre planète, il ne devrait toutefois pas être relégué derrière des considérations financières ou de liberté. Pour que chaque personne puisse vivre décemment, elle doit avoir un air sain à respirer, une nourriture et une eau non polluées, sans craindre de pénuries. Sinon, comment oser rêver de travail pour tous, de retraite sereine et d’un avenir positif pour nos enfants ?
Voici quelques arguments pour vous motiver à voter, et à choisir des représentants engagés pour l’environnement.
Pour cela, à vos bulletins, citoyens ! Pour vous aider, Alliance-Environnement met à votre disposition ecorating.ch. Ce site évalue la position des parlementaires par rapport aux questions environnementales.
Les limites planétaires sont les seuils que l’humanité ne devrait pas dépasser pour ne pas compromettre les conditions favorables dans lesquelles elle a pu se développer et pour pouvoir durablement vivre dans un écosystème sûr, c’est-à-dire en évitant les modifications brutales et difficilement prévisibles de l’environnement planétaire.
Ce concept a été proposé par une équipe internationale de 26 chercheurs et publié en 2009. Il a depuis été mis à jour par des publications régulières.
Il consiste en neuf limites planétaires, dont huit sont chiffrées par les chercheurs et six sont déjà franchies. Neuf processus sont retenus comme limites, car ensemble ils remettent en cause la stabilité de la biosphère :
Les 6 premières limites sont considérées comme franchies en 2022.
Les 7e et 8e ne sont pas encore franchies à l’échelle de la planète.
La 9e n’a pas été quantifiée à l’échelle planétaire.
Source : Wikipédia
Alors que nous nous apprêtons à célébrer le 1er août, la fête nationale suisse, ZeroWaste Switzerland tient à partager quelques astuces pour profiter de cette journée spéciale tout en préservant notre environnement.
Selon les données de l’Office fédéral de la police, environ 1’600 tonnes de feux d’artifice sont utilisées chaque année en Suisse, et parmi elles, près de 25 % émettent 300 tonnes de poussières fines dans l’atmosphère. Ces émissions représentent 2 % des émissions annuelles du pays. Bien que les feux d’artifice soient magnifiques et emplis de magie, ils ont également un impact sur notre environnement. Source BAFU
Voici quelques exemples inspirants de villes qui ont fait le choix de créer une fête nationale plus respectueuse de l’environnement. Ces initiatives montrent que nous pouvons célébrer notre identité nationale tout en agissant de manière responsable envers notre planète. 🌱🌍
Voici quelques conseils pour minimiser l’impact des feux d’artifice sur la qualité de l’air lors des festivités du 1er août :
En agissant ensemble, nous pouvons faire la différence pour notre environnement et continuer à célébrer fièrement notre nation tout en préservant sa beauté naturelle. 🌍💙
Nous espérons que ces astuces vous seront utiles pour passer un 1er août inoubliable tout en prenant soin de notre planète.
Joyeuse fête nationale à tous les Suisses et toutes les Suissesses et à tous ceux et celles qui se joignent à nous pour célébrer cette journée spéciale ! 🇨🇭🎉
1.2.3.Bocal est une épicerie sur-mesure, sans gaspi et sans chichi: entendez par là, de nombreux produits en vrac ou en emballages réutilisables, consignés pour certains. Des produits sains et bio en grande majorité. Les produits locaux et les circuits courts sont également privilégiés.
1.2.3.Bocal se veut aussi solidaire grâce à des bocaux suspendus, mis en place avec l’aide de l’association Suspend’us.
Site Internet
Le 18 juin, la Suisse doit se prononcer sur la loi climat. En tant qu’association ayant une vision de la Suisse sans déchets, ni gaspillage, ZeroWaste Switzerland se positionne en faveur de la loi sur le climat. En effet, en promouvant un mode de consommation et de production zéro déchet, nous soutenons cette loi visant à diminuer la consommation de gaz et de mazout et à nous rendre moins dépendants des importations d’énergie. Moins de combustion, moins de transport, donc moins de CO2.
Cette loi entre dans nos valeurs liées au fait de repenser sa consommation et la réduire, 2 de nos fameux 5R.
Alors le 18 juin, pour diminuer encore nos déchets et tendre toujours plus à l’objectif de neutralité climatique, VOTEZ OUI !
Plus d’information sur la campagne ici.
Les chiffres que Jérémie Pichon cite dans son dernier livre, dans le chapitre dédié à la transition financière, sont de l’ordre de l’indécent. « Et pendant que nous éteignons soigneusement notre lumière avant de sortir de la pièce, notre argent en banque génère le principal de nos émissions carbones annuelles. Et pas une paille : 41 % des émissions totales ! »
Vous faites certainement partie des personnes qui ont un compte épargne. Bien que vous ne touchiez pas à cet argent, celui-ci ne dort pas ! La banque utilise ces fonds pour financer son activité économique : elle prête aux particuliers et aux entreprises moyennant rémunération (les intérêts). Une banque a donc besoin de liquidités : elle puise dans les dépôts ou en emprunte auprès d’autres banques ou des marchés financiers.
Par le choix de leurs placements, de nombreuses banques et institutions (assurances, fonds de pension) promeuvent une hausse des températures massives. En Suisse, l’impact climatique des banques est colossal !
les Artisans de la Transition ont démontré, dans trois rapports successifs publiés en 2016, 2018 et 2020, que le portefeuille d’actions connues de la Banque Nationale Suisse (92 milliards de francs suisses, soit 60% de ses placements en actions) était à l’origine de 48,5 millions de tonnes CO2/an. La BNS investit également dans certaines entreprises responsables de graves violations des droits de l’homme. Et elle continue à investir des milliards de francs suisses dans les Bourses mondiales sans politique de placement active pour évincer les entreprises les plus émettrices de CO2 et les moins recommandables. Pour prendre les bonnes décisions, les acteurs financiers scrutent les messages des banques centrales jusque dans leurs moindres détails.
Sur le changement climatique, le message que la BNS envoie à toute la place financière suisse est très clair : « il n’y aurait pas de problème ».
Et tout indique que les acteurs financiers suivent cette appréciation.
Le rapport de Greenpeace « Des affaires dangereuses pour le climat », publié en 2020, révèle quant à lui l’ampleur des chiffres : les deux grandes banques que sont UBS et Crédit Suisse finançaient, en 2020 toujours, directement pas moins de 93,9 millions de tonnes d’équivalents de CO2 – via le financement de 47 entreprises des secteurs du charbon, du pétrole et du gaz – soit le double des émissions de gaz à effet de serre de toute la population et de toutes les industries de la Suisse.
Au niveau européen, l’accord de Paris sur le climat, conclu en 2015, consiste à harmoniser les flux financiers internationaux conformément aux exigences de réduction des émissions de gaz, et à soutenir un développement économique supportable pour le climat. Mais aucune autorité ne prévoit pourtant de contraindre les banques à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Les institutions ne changeront pas toutes seules.
Le système monétaire et financier s’est construit sur un modèle de rendement à tout prix, très pervers et qui fonctionne à notre insu, et malheureusement avec notre consentement.
Interpellons nos banques ! Exigeons plus de transparence et de traçabilité, demandons où va notre argent !
Les alternatives existent. Elles sont institutionnelles et individuelles, pratiques et associatives : elles s’appellent banques alternatives, coopératives, monnaies locales ou encore actionnariat conscient.
Notre argent, à nous citoyen-nes, a un pouvoir infini.
Alors plaçons-le dans des « mains » conscientes et éthiques qui veulent guider les capitaux vers des solutions qui favorisent une transition juste et écologique.
Pour des informations plus détaillées et la liste de nos sources, vous avez la possibilité de télécharger notre guide de l’argent responsable
Qui cherche un nouveau défi en 2023 ? Et pourquoi pas un Zéro Déchet Défi Familles ? La ville de Kriens et ZeroWaste Switzerland lancent un projet commun et offrent à 10 familles la possibilité de participer gratuitement à un coaching de 6 mois de ZeroWaste Switzerland afin de produire moins de déchets au quotidien.
En plus d’un large éventail d’ateliers, de visites et de conférences, les participants se voient attribuer un coach (membre de l’association Zero Waste Suisse Centrale) avec lequel ils définissent des objectifs, relèvent des défis et discutent de solutions lors de réunions individuelles à domicile et en ligne.
Les participants seront accompagnés dans leur démarche de réduction des déchets. Il s’agit de montrer qu’il est possible de produire moins de déchets même dans un quotidien bien rempli et que l’apprentissage de nouvelles habitudes est réalisable.
Une réunion d’information aura lieu le 30 mars 2023 à 19h30 à Kriens (Lucerne), où le programme détaillé sera présenté et les questions seront clarifiées. Le défi débutera ensuite en avril et durera jusqu’en septembre.