ZeroWaste Switzerland

Non-profit association inspiring everyone in Switzerland to reduce waste.

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C’est Patou

Une épicerie Bio, Locale et Vrac à Trélex

Site internet et shop en ligne: https://patou.ch

L’épicerie c’est Patou, initialement créée à La Cezille en 2017 par Patricia, a été reprise en 2021 par Carole et Olivier. C’est au coeur du village de Trélex, dans une ambiance chaleureuse et familiale que nous vous accueillons du mardi au samedi, dans nos locaux qui sont une épicerie depuis plus de cent ans ! 

Nous vous proposons un large assortiment de plus de 800 produits, dont plus de 75% sont issus de l’agriculture biologique, 65% locaux et 30% en vrac : 

  • Des fruits et légumes, BIO exclusivement, réapprovisionnés tous les matins de la semaine par des producteurs locaux 
  • Des céréales et huiles BIO ainsi que des farines de moulins régionaux 
  • Tout un éventail de boissons BIO (jus de fruits, kombucha, limonades, sirop, bières, vins et autres alcools) 
  • De la boulangerie artisanale et des confiseries (chocolats, fruits secs, glaces, bonbons…) 
  • Un ensemble de produits d’épicerie (épices, condiments, herbes aromatiques, sauce, légumes et champignons en bocaux, miels et confitures…) 
  • Une large gamme de produits laitiers, de vaches, brebis et chèvre, d’alternatives végétales, de viandes et poissons du lac Léman 
  • Des thés et cafés, des plats cuisinés par nos traiteurs locaux 
  • Des produits de beauté et de parapharmacie (crèmes, savons et dentifrices solides…) 
  • Des articles de nettoyage en vrac, des gourdes en inox, des éponges, brosses à vaisselle… 
  • Des fleurs, des cartes et paniers cadeaux 

L’intégralité de notre assortiment peut également être commandé sur notre site internet et vos achats peuvent être retirées à l’épicerie, ou livrées directement à la maison dans le district de Nyon (Vaud). 

Pour des prix justes et équitables 

Pour nous, les prix d’achat aux producteurs ainsi que les prix de vente aux consommateurs se doivent d’être justes et équitables. 

Nos partenaires producteurs nous proposent eux-mêmes leurs prix de vente, nous ne négocions pas de baisse ou de rabais. Qui de mieux que celui qui produit sait combien vaut son travail? 

Nous essayons de prendre une marge juste, permettant de garantir nos frais fixes (loyer, salaires et charges sociales). Chez nous, vous ne trouverez pas d’action à 50% pour la simple et bonne raison que pour la plus grande majorité de nos produits nous n’avons pas 50% de marge! 

Nos choix dachats responsables 

Plus de 3 quarts de nos produits sont BIO 

Le choix de soutenir une agriculture biologique n’est pas anodin. En effet, plus naturelle pour notre santé, mais également moins contraignante pour notre planète, l’agriculture biologique est pour nous une évidence. Vous trouverez chez nous une majorité de produits labellisés (Bourgeons Bio Suisse, label européen ou français pour l’agriculture biologique). Pour d’autres produits, plus locaux et artisanaux, nous essayons de faire changer quelque peu les habitudes en proposant d’inclure plus naturellement des ingrédients issus de l’agriculture biologique. 

Presque 2 tiers de nos produits sont locaux 

Nous privilégions les producteurs locaux aux importations. En général, nous choisirons automatiquement les produits suisses lorsqu’ils sont disponibles (en saison). Cependant, la saison suisse peut-être courte, alors nous nous autorisons de les importer des pays limitrophes (principalement France et Italie) un peu avant et après la production locale, c’est le cas par exemple pour les choux-fleurs ou les abricots… D’autres produits comme les avocats, les citrons verts ne poussant pas par chez nous, nous les prendrons uniquement d’Europe, jamais d’Amérique du Sud! 

Nous vous proposons, en magasin et sur notre boutique en ligne, un “badge” vous indiquant la distance des producteurs. 

Environ un tiers de nos produits sont vendus en vrac 

“Le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas”. Cette phrase a tout son sens pour nous, c’est pour cela que nous vous proposons le maximum d’article en vrac, sans vous proposer d’alternative emballée. Le vrac est pour nous une évidence. Malheureusement, certaines denrées ne peuvent pas ou sont peu ou pas disponibles en vrac, dans ce cas nous choisissons des emballages en verre, papier ou plastique végétaux si possible. 

Nous avons choisi de devenir membres de l’association ZeroWaste Switzerland afin d’adhérer pleinement aux projets Zéro Déchet. 

L’adresse :
1 route de Genolier 
1270 Trélex 

La Vracrie

La Vracrie a ouvert ses portes le 15 janvier 2022 à Praz, dans le Vully
fribourgeois.

La coopérative compte à ce jour 125 membres d’horizons très variés qui
ont choisi de s’engager pour proposer une épicerie favorisant une
consommation locale, respectueuse de l’environnement et durable, ayant
également pour but de devenir un lieu de rencontre. La Vracrie est
ouverte à tous, coopérateurs ou simples clients.

L’épicerie propose une large gamme de produits issu de la région, tant
au niveau alimentaire que non-alimentaire et plus de la moitié d’entre
eux sont certifiés bio. L’assortiment comprend des produits alimentaires
tels que des fruits et légumes, des oléagineux, des céréales, des
produits laitiers, des boissons ainsi que des produits ménagers et
cosmétiques. Plus d’une centaine sont proposés en vrac afin de limiter
ses déchets et éviter le gaspillage. Nous avons à cœur de privilégier
les producteurs locaux et le circuit court afin de garantir des produits
frais de saison.

Intéressé(e) à devenir coopérateur.trice? Ramène ton bocal et rejoins La
Vracrie.

Site Internet

Welche Lösungen gibt es für eine ZeroWaste Sonnencreme? 

Auf dem Weg zu einem Verbot “klassischer” Sonnencremen? 

“Ein kleiner Tropfen Sonnencreme an einem Sommernachmittag am Strand, multipliziert mit ebenso vielen Sonnenbädern, bedeutet, dass etwa 25.000 Tonnen Chemikalien in den Ozean gelangen…”. 

Gutes Aussehen und Sonnenkapital 

Die gesunde Ausstrahlung einer gebräunten Haut ist gut für die Moral. Die helle Sonne, die wir im Sommer abbekommen, hilft uns auch bei der Synthese des wertvollen Vitamin D, das gut für unsere Knochen, Muskeln, unser Herz-Kreislauf-System, unsere Immunität und unsere Moral ist. Es wird empfohlen, sich im Sommer zweimal pro Woche zwischen 15 und 30 min vor 11:00 Uhr oder nach 16:00 Uhr in die Sonne zu legen. Das ist weit entfernt von langen Tagen in der Sonne! Die zweitwichtigste Quelle von Vitamin D ist unsere Ernährung. 

Es hat sich erwiesen, dass wir uns zur Vermeidung einer Herbstdepression so oft wie möglich dem Licht und der Sonne aussetzen sollten, insbesondere um die Ausschüttung von Melatonin, dem Hormon, das unseren Tag-Nacht-Zyklus reguliert, über Serotonin, das auch als “Glückshormon” bezeichnet wird, zu induzieren. 

Wir wissen jedoch auch, dass ein schlechter Sonnenschutz zu Hautkrebs führen kann und dass unser “Sonnenkapital” nicht unendlich ist. Die Melanosomen, Zellen in unserer Epidermis, enthalten nämlich das Melanin, das uns braun werden lässt und unsere Haut vor UV-Strahlen schützt. 

Dermatologen raten daher immer häufiger zu einer Tagescreme mit UV-Schutz. In unseren Breitengraden variiert der UV-Index von 2 (niedrig) im Winter bis 10 (sehr hoch) in höheren Lagen und im Sommer. 

Man sagt, dass man, um das Sonnenrisiko zu kennen, ohne den UV-Index zu kennen, einfach einen Stock in den Boden stecken und die Länge des Schattens beobachten kann, den er wirft. Ist der Schatten kürzer als der Stock, besteht Gefahr! 

Bei einem ZeroWaste Ansatz ist es legitim, sich die Frage zu stellen, wie man sich vor der Sonne schützen kann, ohne Abfall zu produzieren. 

Heute können wir Ihnen nur davon abraten, Ihre Produkte selbst herzustellen, da die Filter in den Ölen nicht wirksam genug gegen UV-Strahlen sind. 

Wir haben nach Lösungen gesucht, die aus Sicht der Umwelt am akzeptabelsten sind. 

1- Vermeiden Sie die Sonne. 

Die besten Lösungen sind die einfachsten. Die Sonne ist von 11:00 bis 16:00 Uhr besonders schädlich. In dieser Zeit sollte man nicht ins Freie gehen. Gehen Sie so oft wie möglich im Schatten spazieren (dort ist es auch nicht so heiss). 

Für Risikopersonen (Babys, Kleinkinder, ältere Menschen oder Menschen, die ihr Sonnenkapital aufgebraucht haben, sehr helle Haut…) ist es besonders empfehlenswert die Stunden zu meiden, in denen die Sonne am stärksten scheint. Dies schützt die Haut und verhindert einen Hitzschlag. 

Physischer Schutz 

Es gibt eine ganze Reihe von Möglichkeiten, sich zu schützen: Kleidung, Hüte, Brillen, Mützen, usw. Brauchen sie diese Lösungen! Sie verursachen keinen Abfall. 

Zum Beispiel können Sie ein leichtes, locker sitzendes, helles Hemd mitnehmen, das Sie bei Spaziergängen in der Sonne anziehen können, um Ihre Arme und Schultern zu schützen. 

Statten Sie die Kinder zum Schwimmen mit Lycra und einer alten Mütze aus, die das Wasser nicht mehr scheut. 

Bringen Sie den Sonnenschirm wieder in Mode! 

Halten Sie Ausschau nach Sonnenschirmen und schattigen Terrassen, um nicht in der prallen Sonne zu bleiben. 

2- Verwenden Sie eine Sonnencreme. Aber welche soll man wählen? 

Sonnenschutzmittel müssen eine ausreichende Wirkung gegen UVB-Strahlen (die für Sonnenbrand verantwortlich sind), aber auch gegen UVA-Strahlen (die zu vorzeitiger Hautalterung und Störungen des menschlichen Immunsystems führen) haben. Sowohl UVB- als auch UVA-Strahlen können Hautkrebs verursachen. 

Es gibt daher zwei Arten von Schutzcremes: solche mit chemischen Filtern und solche mit mineralischen Filtern. 

Chemische Filter bestehen aus organischen Molekülen (Oxybenzon und andere) und dringen in die Epidermis ein, um die UV-Strahlen zu absorbieren. Achtung, sie können endokrine Disruptoren und Allergene sein und haben erhebliche ökologische Auswirkungen, da sie insbesondere die in den Korallen enthaltenen Mikroalgen abtöten. 

Mineralische Filter hingegen dringen nicht in die Epidermis ein. Sie lagern sich auf der Haut ab, um die UV-Strahlen zu reflektieren, wie ein Bildschirm. Mineralische Filter basieren in der Regel auf Zinkdioxid oder Titandioxid. Ideal sind Sonnencremen, die mineralisch ohne Nanopartikel, ohne zugesetzte chemische Filter und möglichst biologisch sind, da sie nicht schädlich für die Umwelt sind. Cremes mit mineralischen Filtern haben den Nachteil, dass sie oft einen weissen Film auf der Haut hinterlassen (wir haben es getestet!), aber auch den Vorteil, dass sie nicht allergen sind. 

Was ist mit Karanjaöl? 

Im Jahr 2017 erinnerte die ANSM (französische Behörde für die Sicherheit von Arzneimitteln und Gesundheitsprodukten) in ihrem Hinweis für Hersteller von Sonnenschutzmitteln daran, dass : 

1) Sonnenschutzmittel, die nur Karanjaöl enthalten, um einen Lichtschutzfaktor zu erzielen, nicht den geltenden Vorschriften entsprechen und nicht auf dem Markt bereitgestellt werden dürfen; 

2) Bei Sonnenschutzmitteln, die aus zugelassenen Ultraviolettfiltern und Karanjaöl bestehen, ist es wichtig, dass nachgewiesen werden kann, dass der erzielte Lichtschutzfaktor auf den/die in der Formel enthaltenen zugelassenen Ultraviolettfilter zurückzuführen ist.” 

Kurz gesagt: Am besten meiden Sie dieses immer noch umstrittene Öl! 

Auf dem Weg zu einem Verbot von nicht-biologischen Sonnencremes? 

Wenn man sieht, welche Schäden die Sonne im Laufe der Jahre auf der Haut anrichtet, kann man sich auch vorstellen, dass der asiatische Trend zu heller, milchiger Haut vielleicht schneller in Europa ankommt, als man denkt. Die Palau-Inseln im Pazifischen Ozean waren das erste Land, das am 1. Januar 2020 Sonnencremes zum Schutz der Korallen verbot. Thailand zog am 4. August 2021 nach. Der Staat Hawaii denkt ernsthaft darüber nach. Craig Downs, Generaldirektor des Haereticus Environmental Laboratory in Hawaii, sagte: “Sie wollen nicht wie Thailand, die Philippinen oder Indonesien werden, wo sie Strände schliessen mussten. Die Korallenriffe an diesen Stränden sind abgestorben”. 

Wie kann man seine Haut von innen vorbereiten und schützen? 

– Viel Wasser trinken, denn das Wasser kommt auch bei unseren Hautzellen an! 

– Farbige Lebensmittel essen, die oft Antioxidantien enthalten: Lycopin in Tomaten, Flavonoide in Walnüssen, Rotwein oder Karotin in Karotten. Und bevorzugen Sie grüne Tees, die reich an Antioxidantien sind, insbesondere den Azoren-Tee, den einzigen europäischen Tee, der als pestizidfrei zertifiziert ist! 

– Bevorzugen Sie Lebensmittel, die reich an Omega-3-Fettsäuren sind, die die Lederhaut unserer Haut tiefgreifend nähren (um Falten zu vermeiden), wie z. B. Thunfisch in Öl (vor allem nicht in der Salzlake, da die Omega-3-Fettsäuren mit der Lake abgehen) und bestimmte Öle wie Raps- oder Walnussöl. 

– Nicht zu vergessen ist Vitamin C, das ebenfalls antioxidativ wirkt und in schwarzen Johannisbeeren, Beeren, Himbeeren, Johannisbeeren und Zitrusfrüchten enthalten ist. 

Welche ZeroWaste-Lösungen gibt es, um die Bräune zu verlängern und das ganze Jahr über eine schöne Haut zu haben? 

Peelen Sie Ihre Haut mit Kaffeesatz, Salz mit Öl oder einem Luffaschwamm, um abgestorbene Hautzellen an der Oberfläche zu entfernen und der Haut die Möglichkeit zu geben, zu atmen. 

– (Viel) Feuchtigkeit spenden, mit pflanzlichen Ölen vom Typ Omega 3. 

– Eine angepasste Ernährung haben. 

Sie haben also verstanden, dass es einfache ZeroWaste-Lösungen gibt, um eine schöne Bräune zu bekommen und den Planeten nicht zu verschmutzen! 

Hier sind einige Links zu den oben genannten Artikeln, falls es Sie interessiert: 

https://www.sudouest.fr/economie/conso-distribution/comment-bien-choisir-sa-creme-solaire-voici-les-composants-a-eviter-et-les-labels-a-privilegier-11556656.php (in französich)

https://eur-lex.europa.eu/legal-content/DE/TXT/?uri=CELEX%3A32006H0647

https://archiveansm.integra.fr/var/ansm_site/storage/original/application/dd06a8d579622fd0b1ddd4484225aa82.pdf (in französich)

https://www.tf1info.fr/international/pour-sauver-le-corail-les-iles-palaos-interdisent-la-creme-solaire-2103311.html (in französich)

Tasse dabei?

Kleiner Leitfaden für den Konsum: Machen wir “Zero Waste” zur Gewohnheit! 
Ein Beispiel für Kaffee, kann aber für alle Behälter verwendet werden. 

WIE SCHAFFT MAN ES, SICH DAS MITNEHMEN SEINES EIGENEN BEHÄLTERS ZUR GEWOHNHEIT ZU MACHEN? 

Es gibt einen Grund, warum wir einen “take-away” Kaffee so gerne mögen: Es ist praktisch und es macht Spass, seinen Kaffee überall und zu jeder Tageszeit zu geniessen. 

Vielleicht sind Sie aber auch dabei zu versuchen, Ihre Auswirkungen auf die Umwelt zu verringern, und möchten nachhaltigere Gewohnheiten annehmen, die nicht auf der Verwendung von Einwegbechern beruht? 

Dann gratulieren wir Ihnen! Das ist eine hervorragende Entscheidung. Folgen Sie diesem Leitfaden, und ändern Sie spielerisch die Art und Weise, wie Sie Ihren Kaffee konsumieren, und reduzieren dabei gleichzeitig Abfall, und schonen die Umwelt! 

Die Anatomie von Einwegkaffeebechern 

Einwegkaffeebecher bestehen heute überwiegend aus Pappe mit Polyethylenbeschichtung. Der Deckel besteht immer aus Polystyrol. 

Polyethylen hat die Eigenschaft, dass es sehr langlebig und kaum biologisch abbaubar ist. Dies ist ein Problem für Becher, die zu 99% biologisch abbaubar sind und daher Kunststoffrückstände im Boden hinterlassen.

Ein weiteres Problem ist, dass die Becher aus “neuem” Karton hergestellt werden. Um das Risiko einer chemischen Kontamination zu vermeiden, werden sie nicht aus recyceltem Karton hergestellt. Ihr Recycling ist nahezu null, da sie nach Gebrauch verschmutzt sind und nicht in die Kartonsammlung gelangen können. Es handelt sich also um eine einmalige Verwendung von Karton!

Für Polystyrol gibt es in der Schweiz keinen Recyclingweg und es wird verbrannt.

Folglich sind der Deckel und der Becher nicht biologisch abbaubar und können nicht recycelt werden.

Vorteile von wiederverwendbaren Kaffeebechern 

Um aufzuzeigen, dass der wiederverwendbare Becher eine bessere Umweltbilanz aufweist, müssen Annahmen berücksichtigt werden, die stark variieren und das Endergebnis entsprechend beeinflussen. Beispiel: 

  • Kann der Plastikbecher recycelt werden? Und wenn ja, wird er wirklich recycelt? 
  • Wird der wiederverwendbare Becher in der Maschine gespült? Wenn ja, hat der Geschirrspüler eine Sparklasse (z. B. A++) und vor allem: Wird er vor dem Einschalten auch gefüllt? 
  • Stammt der Strom (und/oder das warme Leitungswasser) aus erneuerbaren Energiequellen? 
  • Wie viel graue Energie enthält das Wasser, das zum Waschen verwendet wird? usw. 

Es wurden mehrere Studien von herstellerunabhängigen Organisationen durchgeführt, die zu dem Schluss kommen, dass die Verwendung von wiederverwendbarem Geschirr umweltfreundlicher ist als Einwegkaffeebecher. Die aktuellste Schweizer Studie zu diesem Thema ist die vom BAFU im Rahmen der Euro2008 erstellte Studie.

Wenn Sie sich dafür entscheiden, Ihre eigene Tasse mitzubringen, hat das positive Effekte für Ihre Gesundheit, die Qualität Ihres Kaffees und die Umwelt. 

Und wenn Sie es geschafft haben das Mitbringen Ihrer eigenen Tasse zu einer täglichen Gewohnheit zu machen, werden Sie es genauso praktisch finden wie ein Einwegbecher. Hier sind einige Motivationsfaktoren, die Sie im Hinterkopf behalten sollten, wenn Sie die Gewohnheit zu entwickeln wollen, Ihren Behälter selbst mitzubringen – auf Englisch #BYO (bring your own): 

  1. Keine giftigen Materialien mehr. Ein wiederverwendbarer Becher aus BPA-freiem Edelstahl, Glas oder Silikon ist besser für Ihre Gesundheit und verbessert den Geschmack. 
  2. Reduzieren Sie den Einwegplastikmüll. Es versteht sich von selbst, dass Sie während der Lebensdauer Ihres wiederverwendbaren Bechers die Verwendung von Hunderten oder sogar Tausenden von Einwegbechern vermeiden, je nachdem, wie häufig Sie Getränke zu sich nehmen. 
  3. Geniessen Sie heisse oder kalte Getränke länger – Edelstahl (Inox) hilft, die Temperatur zu halten. Wenn Sie sich also für einen wiederverwendbaren Becher entscheiden, der mit einer doppelwandigen Isolierung entworfen wurde, bleiben Ihre Heissgetränke stundenlang heiss oder kalt. 

Wie kann man sich #BYO zur Gewohnheit machen? 

1. Bleiben Sie organisiert 

Damit Sie nicht in letzter Minute vor dem Verlassen des Hauses nach Ihrem Becher suchen müssen, sollten Sie in Ihrem Schrank einen Platz für saubere Becher haben. Wählen Sie ihn entsprechend der Verwendung aus: auslaufsicher oder nicht, isotherm, klein oder gross, leicht, stabil! 

2. Halten Sie Ihren Becher sauber und desinfiziert 

Wenn Sie Ihre eigene wiederverwendbare Tasse (Becher, Flasche oder Thermoskanne) mitbringen, achten Sie darauf, sie so schnell wie möglich, spätestens aber im Laufe des Tages, mit warmem Seifenwasser zu reinigen. Das Risiko von Bakterien- und Schimmelwachstum steigt mit zunehmender Feuchtigkeit und Hitze, und der übrig gebliebener Capuccino kann potenziell gesundheitsschädlich werden. Für eine gründlichere Reinigung können Sie mit einer Flaschenbürste die schwer erreichbaren Ecken der Flasche und des Deckels abreiben. Lassen Sie sie dann vollständig trocknen, bevor Sie sie an einem ausgewiesenen und leicht erreichbaren Ort aufbewahren. Wenn Sie Ihre wiederverwendbare Tasse mehrere Tage im Auto oder im Rucksack gelassen haben, empfehlen wir Ihnen, sie mit einer Wasser-Essig-Mischung zu reinigen. 

Lieblingsaktivitäten mit einen wiederverwendbaren Kaffeebecher 

Eine weitere Möglichkeit, die #BYO-Gewohnheit zu entwickeln, besteht darin, Ihre Liebe zum Coffee-to-go mit Ihren Lieblingsaktivitäten zu kombinieren: 

1. Der morgendliche Spaziergang

Einige der brillantesten und erfolgreichsten Persönlichkeiten der Geschichte haben erklärt, dass sie Morgenspaziergänge lieben. Für Charles Dickens, Steve Jobs, Aristoteles und viele andere war ein Spaziergang eine Gelegenheit, die erzielten Fortschritte Revue passieren zu lassen und gleichzeitig die zukünftigen Ziele für den Rest des Tages, der Woche oder des Monats ins Auge zu fassen. 

Wenn Sie den Spuren der grössten Geister folgen, können Sie Ihren Morgenspaziergang ganz einfach durch die anregende Wirkung des Kaffees verbessern. Und wenn Sie Ihre eigene Tasse mitbringen, fühlen Sie sich gut, glücklich darüber, keinen Müll erzeugt zu haben, und einen Coffee-to-go in einer inspirierenden Umgebung geniessen. 

2. Kaffee-Kreis im Park 

Ein einsamer Spaziergang ist zwar eine grossartige Möglichkeit, sich zu besinnen, aber es ist auch schön, Abwechslung zu haben und Zeit für soziale Interaktionen. Wenn Sie Ihre kaffeetrinkenden Kollegen treffen, erzählen Sie ihnen von Ihrer neuen #BYO Gewohnheit. Ein Kaffeekränzchen ist auch der ideale Weg, um die Ruhe der Natur zu geniessen und gleichzeitig mit Ihren Lieben zu plaudern.

Sie können diese Idee über den Park hinaustragen, indem Sie ein Treffen in einem Naturschutzgebiet ansetzen. Wenn Sie Ihre eigene Thermoskanne mit Freunden und Familie mitbringen, erhöht sich der Anreiz, wieder an der frischen Luft zu sein, und Sie schützen die Umwelt, indem Sie Einwegplastikmüll reduzieren. 

3. Kaffeepause am Arbeitsplatz 

In der heutigen schnelllebigen Gesellschaft fördert das Mitnehmen eines Kaffees die Gewohnheit, am Arbeitsplatz oder unterwegs eine Tasse zu trinken. Aber ausserhalb des Büros sich bei einer Tasse Kaffee mit anderen Mitarbeitern auszutauschen, ist eine grossartige Möglichkeit, den Tag zu unterbrechen und gleichzeitig die sozialen Bindungen zu stärken. 

Tipps, damit Sie nicht vergessen, Ihre eigene Tasse mitzubringen

Die 3-Minuten-Regel 

Sie werden nie vergessen, Ihren eigenen wiederverwendbaren Becher mitzubringen, wenn Sie die 3-Minuten-Regel anwenden: 

Anstatt zur Tür zu rennen und sofort loszugehen, sagen Sie sich und jeder Person, die Sie begleitet, dass Sie drei Minuten vor dem Start Zeit haben, um einen letzten Check durchzuführen. So haben Sie genügend Zeit, um sicherzustellen, dass Sie alle wichtigen Dinge wie Geldbörse, Handy und Schlüssel sowie die Ausrüstung für unterwegs wie Ihre Kaffeetasse und andere Gegenstände, die Ihnen das Zero Waste erleichtern, dabei haben.  

Was auch immer Sie tun, behalten Sie dieselbe Checkliste im Hinterkopf, damit es jedes Mal, wenn Sie die 3-Minuten-Regel praktizieren, zur Gewohnheit wird.

Wenn Sie sich beeilen, könnten Sie etwas vergessen, deshalb sollten Sie sich immer ein paar Minuten Zeit nehmen, um Ihre Liste mit unverzichtbaren Gegenständen durchzugehen, bevor Sie ausgehen. 

Wenn Sie vergessen haben, Ihre eigene Tasse mitzunehmen 

Vielleicht haben Sie Ihre wiederverwendbare Kaffeetasse verlegt oder schlichtweg vergessen. Was auch immer der Grund sein mag, es ist schwer, auf seine tägliche Tasse Kaffee zum Mitnehmen zu verzichten. In diesem Fall empfehlen wir Ihnen, sich entweder in das Café zu setzen und den Kaffee an Ort und Stelle zu trinken (aus einem wiederverwendbaren Becher) oder den Abfall zu reduzieren, indem Sie Ihren Einwegkaffeebecher wiederverwenden. Obwohl sie nicht so langlebig sind, können sie ein paar Mal verwendet werden, bevor sie weggeworfen werden. Das ist zwar nicht ideal, aber wenn sie nur gelegentlich verwendet werden, ist es ein Schritt in die richtige Richtung. 

Weitere Tipps 

Wenn Sie ausgehen, brauchen Sie mehr als nur Kaffee, um gesund zu bleiben und ausreichend Flüssigkeit zu sich zu nehmen. Deshalb empfehlen wir Ihnen, dieselben Strategien anzuwenden: Bringen Sie Ihre eigene Wasserflasche oder einen Behälter für Ihr Essen mit. Wie Einwegkaffeebecher enthalten auch Wasserflaschen aus Plastik und Essensschalen schädliche Chemikalien wie BPA. Investieren Sie in eine wiederverwendbare Wasserflasche und einen Behälter aus Edelstahl, um Ihren Abfall zu minimieren und sicherzustellen, dass Sie immer einen Behälter zur Hand haben. 

Zum Mitnehmen 

Zeigen Sie Ihre Unterstützung für die Mehrwegkultur und ermutigen Sie andere, diese positive Gewohnheit zu übernehmen, indem Sie Aktivitäten mit ZeroWaste Switzerland organisieren und Ihre Lieblingstassen in den sozialen Medien veröffentlichen. #ZeroWasteSwitzerland #tassedabei #BYO #ZeroWasteNetzwerk #GemeinsamZeroWaste #becoolbeZeroWaste #zerowaste #bringyourown

Quellen :

https://www.consoglobe.com/duel-gobelet-jetable-vs-gobelet-reutilisable-cg

https://www.perturbateur-endocrinien.com/identification-plastique/

https://www.perturbateur-endocrinien.com/wp-content/uploads/2018/06/POLYMERE_PE.pdf

Inspiriert von: https://www.ironflask.com/blogs/blog/how-to-start-bring-your-own-cup-habit

Pesto in 3 Varianten

Pesto wird traditionell mit Basilikumblättern zubereitet, heute bieten wir euch drei weitere Varianten an! Sie sind sehr einfach und ihr werdet so Rezepte haben, die sich der Saisonalität von Gemüse und Kräutern anpassen.

Pesto aus Radieschengrün ?

Zutaten

für 1 bis 3 Gläser

Wenn immer möglich, sind unsere saisonalen Zutaten lokal, biologisch und unverpackt eingekauft.

  • frische Radieschenblätter von einem Bund (oder mehr)
  • Olivenöl (1 bis 2 dl)
  • 2 Esslöffel Sonnenblumenkerne (oder Nüsse)
  • ein wenig Zitronensaft
  • ein wenig frisch gemahlener Pfeffer
  • Salz, nach Geschmack

Vorbereitung

  1. Kleine Gläser (ca. 1 dl) vorbereiten, sterilisieren, falls sie zur Lagerung bestimmt sind.
  2. Alle Zutaten (ausser Salz) in einen Mixer geben und bis zur gewünschten Konsistenz pürieren. Mit Salz abschmecken und erneut pürieren.
  3. Dieses Pesto kann zu Nudeln, als Dip zu Gemüse oder als Brotaufstrich serviert werden ?.

Pesto-Tapenade mit Fenchelspitzen ?

Zutaten

für 1 bis 3 Gläser

  • ca. 200 g Fenchelblätter und -stängel
  • Saft von 1 Zitrone
  • 1 bis 2 dl Olivenöl
  • 70 g Mandeln
  • 1 – 2 Knoblauchzehen
  • Salz (nach Geschmack)

Vorbereitung

  1. Die Stiele von den Blättern trennen. Die Fenchelblätter waschen und gut abtropfen lassen.
  2. Zitronensaft, Olivenöl und Fenchelblätter in die Schüssel eines Blenders geben und pürieren. Die restlichen Zutaten hinzufügen und mischen.
  3. Das Pesto in Gläser füllen.
  4. Rasch verbrauchen oder der obere Rand des Pestos mit etwas Olivenöl bedecken und salzen (Konservierungsmittel). Pesto kann als Eiswürfel oder in verschiedenen Behältern eingefroren werden.

Bärlauchpaste ?

Das Rezept und Informationen zum Pflücken finden Sie hier.

Sind Biokunststoffe eine gute Nachricht für die Umwelt? Wir geben euch die Bestandsaufnahme!

Sie sind “biologisch abbaubar”, “aus biologischem Anbau” oder “kompostierbar” und werden manchmal als Lösung für die Plastikverschmutzung präsentiert. So attraktiv sie auch sein mögen, diese “Biokunststoffe”, die massenhaft in unseren Geschäften und Betrieben ankommen, sind keine Wunderlösung zur Reduzierung unseres Abfalls. Die Slogans rund um den Bioplastik können sich sogar als kontraproduktiv erweisen, wenn sie eine schlechte Sortiergeste beinhalten. Wir helfen euch, all diese Behauptungen und Etiketten zu durchschauen, indem wir euch hier ein paar gute Ansätze ins Gedächtnis rufen.

Kunststoffe auf Biobasis und kompostierbare Kunststoffe, zwei sehr unterschiedliche Eigenschaften

Wenn hinter dem Begriff “Bio” das Wort Kunststoff steht, sollte man zunächst einmal prüfen, was genau damit gemeint ist.

In der Tat beziehen sich einige “Biokunststoffe”, die manchmal auch als “pflanzlich” bezeichnet werden, auf die Herkunft der Polymere, die in der Zusammensetzung des Kunststoffs verwendet werden. Diese können aus Materialien hergestellt werden, die aus Biomasse (Mais, Zuckerrohr…) stammen, im Gegensatz zu den fossilen Materialien, die traditionell zur Herstellung von Kunststoffen verwendet werden (Öl, Kohle…). Diese werden als “biobasierte” Kunststoffe bezeichnet. Andere Eigenschaften beziehen sich auf die Zukunft dieser Abfälle, man spricht dann zum Beispiel von “biologisch abbaubaren” oder “kompostierbaren” Kunststoffen.

Also wenn man intuitiv zum Gedanken neigt, dass ein “pflanzlicher” Kunststoff automatisch biologisch abbaubar ist, ist Vorsicht geboten! Die Herkunft der Materialien und der Verbleib des Kunststoffs, wenn er einmal zu Abfall geworden ist, sind zwei voneinander unabhängige Merkmale. Mit anderen Worten: Ein “biobasierter” Kunststoff ist nicht unbedingt leichter “biologisch abbaubar” und umgekehrt.

“Biologisch abbaubar”, was bedeutet das genau?

Nun um ehrlich zu sein, eigentlich nicht viel!

Aus wissenschaftlicher Sicht bezieht sich der Begriff “biologisch abbaubar” auf die Fähigkeit eines Produkts, sich zu zersetzen und von der Umwelt effektiv “bio-assimiliert” zu werden (d. h. vollständig in natürliche Moleküle wie Kohlenstoff umgewandelt zu werden), und zwar unter der Einwirkung von Mikroorganismen und Faktoren wie Feuchtigkeit, Wärme oder dem Vorhandensein von Wasser. 

Absolut gesehen ist alle Materie biologisch abbaubar, es ist nur eine Frage der Zeit… aber es kann manchmal hunderte oder sogar tausende von Jahren dauern!

Die Angabe, dass ein Kunststoff “biologisch abbaubar” ist, garantiert dir als Verbraucher weder etwas über die Geschwindigkeit dieses Abbaus noch über die besonderen, nicht immer erfüllten Bedingungen, unter denen dieser Kunststoff tatsächlich schneller “bio”-abgebaut werden kann als ein herkömmlicher Kunststoff. 

Kurz gesagt, es ist besser, sich nicht auf diesen Begriff zu verlassen, wenn man nach einem ökologischen Produkt sucht. Zum ist darüber hinaus in Frankreich geplant, die Verwendung des Begriffs “biologisch abbaubar” auf einem Produkt oder einer Verpackung ebenso zu verbieten wie den genauso vagen Ausdruck “umweltfreundlich”.

Was ist ein “kompostierbarer” Kunststoff?

Das Konzept der Kompostierbarkeit von Kunststoffen hat den Vorzug, präziser zu sein als das der biologischen Abbaubarkeit: Es gibt Materialien an, die in Gegenwart von organischen Abfällen und unter den Bedingungen der Kompostierung (Temperaturanstieg, Anwesenheit bestimmter Mikroorganismen usw.) wahrscheinlich abgebaut werden. Es gibt eine europäische Norm (EN 13432), die garantiert, dass Kunststoff unter industriellen Kompostierungsbedingungen abbaubar ist. Auf Kunststoffverpackungen und -tüten ist die Einhaltung dieser Norm oft durch ein Logo wie “OK COMPOST” gekennzeichnet. 

Wenn also ein Kunststoff als biologisch abbaubar oder kompostierbar angepriesen wird, sollte man als erstes nach diesem Logo suchen, um zu sehen, ob das Material der Norm entspricht und nicht nur ein Marketing-Slogan ist.

Kompostierbare Tüten sind nicht die Lösung für die Bioabfallsammlung!

Aber auch wenn das der Fall ist, muss man bedenken, dass diese kompostierbaren Kunststoffe nicht unbedingt umweltfreundlich sind!

Um zu kompostieren, müssen diese Kunststoffe nämlich getrennt vom Restmüll mit den organischen Abfällen (Mehlreste) sortiert und einer industriellen Kompostierungs- oder Methanisierungsplattform zugeführt werden. Das macht ihn zu einer geeigneten Lösung für die Sammlung von Bioabfall, wenn ein Beutel erforderlich ist (wenn die Gemeinde ihn z. B. vorschreibt). In diesem Fall ist es notwendig, die herkömmlichen Plastiktüten, die den Kompost mit Mikroplastik verunreinigen, unbedingt zu vermeiden und nur Tüten zu verwenden, die tatsächlich kompostierbar sind und das Logo “OK Compost” tragen. 

Wenn es jedoch möglich ist, auf Tüten zu verzichten und den losen Bioabfall in die Tonne zu werfen, ist es noch besser. In der Tat sollten kompostierbare Kunststoffe im Vergleich zu den organischen Abfällen, mit denen sie vermischt werden, nicht zu viel Abfall ausmachen, um effektiv abgebaut zu werden. Und selbst wenn sie einmal kompostiert sind, stellen diese Kunststoffe keine spezifischen agronomischen Interessen für den Boden dar und können daher kaum als Lösung der Kreislaufwirtschaft qualifiziert werden, da der Stoff in jedem Fall eher “verloren” als verwertet wird.

Kunststoffe auf Biobasis: Risiko der Konkurrenz zur Lebensmittelproduktion

Der Begriff «biobasiert» bezieht sich auf eine weitere Kategorie von Biokunststoffen, diesmal geht es um die Zusammensetzung des Materials und nicht um den Verbleib der anfallenden Abfälle. “Biobasiert” bedeutet, dass das Material teilweise (der Begriff kann auch dann verwendet werden, wenn der Anteil an biobasierten Materialen in der Zusammensetzung tatsächlich minimal ist) oder vollständig aus Biomasseressourcen (landwirtschaftliche Ernterückstände, Zuckerrohr, Kartoffeln usw.) hergestellt wurde. 

Während es für die Umwelt positiv sein kann, fossile Materialien durch erneuerbare Materialien zu ersetzen, müssen wir auf die Herkunft des Materials achten, das zur Herstellung des Kunststoffs verwendet wird. Einige biobasierte Kunststoffe werden zum Beispiel aus Zuckerrohr hergestellt, einer Pflanze, die weit weg von Europa angebaut wird und viel Dünger und Pestizide benötigt.

Darüber hinaus sind die Mengen an Kunststoffen, die jedes Jahr weltweit produziert und verbraucht werden, so gross, dass ein vollständiger Ersatz durch natürliche Materialien gewisse kontraproduktive Auswirkungen hätte: Konkurrenz zur Nahrungsmittelproduktion, Verschlechterung der Bodenqualität, Umweltauswirkungen im Zusammenhang mit dem Anbau usw.

Es muss also verstanden werden, dass bei “organischen”, “pflanzlichen” oder “abbaubaren” Kunststoffalternativen Wachsamkeit geboten ist. Die Lösung für die Plastikverschmutzung liegt vor allem darin, unseren Verbrauch zu reduzieren und wiederverwendbare Alternativen zu Einwegprodukten und -verpackungen zu entwickeln.

Um noch ausführlichere Erklärungen zu erhalten, findest du hier das Dossier des BAFU zum Thema.

Crêpes und Galettes

Die Kälte und der Semi-Lockdown… wem steigt da schon nicht die Lust auf leckere Pfannkuchen?

Also, falls ihr kein kleines Restaurant um die Ecke habt, welches Pfannkuchen zum Mitnehmen anbietet (dann aber im mitgebrachten Behälter, oder?), wie kann man dieser Lust sonst noch nachkommen? Wir helfen euch dabei gerne: Aurélie teilt mit euch das Rezept ihrer Mutter, damit ihr euch mit hausgemachten Crêpes verwöhnen könnt! Aber warum sprechen wir hier nur über die Crêpes? Was genau sind denn diese Galettes? Während wir im Deutschen Sprachgebrauch beide Versionen als Pfannkuchen bezeichnen, wird im Französischsprachigem zwischen Crêpes, welche süss sind, und Galettes, welche salzig sind, unterschieden!

Wieso macht man da überhaupt einen Unterschied? Das sind doch schliesslich Pfannkuchen! Aber nein, denn die Mehlart unterscheidet die beiden Versionen: die Galettes werden mit Buchweizenmehl vorbereitet, was den Pfannkuchen einen ganz besonderen Geschmack verleiht. Buchweizen ist eine andere Pflanze als Weizen und unterscheidet sich auch indem, dass er glutenfrei ist. Mit gesalzener Butter vorbereitet, hat dieser Teig einen knusprigen und aussergewöhnlichen Geschmack!

Die trockenen Zutaten findet man in Unverpackt-Läden. Wenn möglich auch biologische und lokale Kost bevorzugen. Milch ist in Mehrwegflaschen zu kriegen, andernfalls wählt einen recycelbaren Behälter. Die Art und Weise, wie Tiere aufgezogen werden, wirkt sich ebenfalls auf die Umwelt und den Geschmack aus. Achtet also darauf, wo die Milch und die Eier herkommen. Bereit? Dann lass uns mit diesem zu 100% abfallfreien Rezept loslegen!   

Rezept für Galettes

Zutaten für 6 Personen

  • 125 g Buchweizenmehl  
  • 50 g Weizenmehl 
  • 3 Eier von glücklichen Hühnern aus der Freilandhaltung
  • 2,5 dl Milch  
  • 2 dl Wasser
  • 1 Teelöffel Öl  
  • 1 Prise Salz

Beläge:

  • La classique – Schinken-Käse : rechnet mit ½ Scheibe Schinken pro Pfannkuchen und Gruyère Käse
  • La complète : Bereitet einen Schinken-Käse vor und legt noch ein Spiegelei auf den Pfannkuchen.

Vorbereitung

  1. Alle Zutaten in einer Schüssel mit einem Schneebesen vermischen, bis keine Klumpen mehr vorhanden sind.
  2. Den Teig mindestens 1 Stunde ruhen lassen.
  3. Teig in eine leicht geölte Pfanne auf mittlerer Flamme giessen. Die Galette gleichmäßig auf beiden Seiten braten (nach der Hälfte der Zeit wenden).
  4. Ihr könnt auch eine Variante ohne Weizenmehl (glutenfrei) machen. In diesem Fall ersetzt einfach die Weizenmengen durch Buchweizen. Die Pfannkuchen haben dann aber viele kleine Löcher (der Teig schrumpft beim Kochen) 

Die vegetarischen Varianten

  • Vorgeschnittene Pilze in einer Bratpfanne mit ein wenig Fett (eurer Wahl) anbraten. Wenn sie gar sind, die Pilze mit dem Käse in den Pfannkuchen legen, und nach Belieben noch mit Rahm versehen, für die Gourmands under euch.
  • Bereitet den dünn geschnittenen Lauch vor, der in ein wenig Fett sanft gedünstet wird. Danach etwas Rahm hinzufügen und den Pfannkuchen mit etwas Gruyère-Käse anrichten.

Rezept für Crêpes

Zutaten für 6 Personen

  • 350 g Weizenmehl  
  • 2 Eier von glücklichen Hühnern aus der Freilandhaltung
  • 5 dl Milch 
  • 2 dl Wasser 
  • ½ Teelöffel Backpulver
  • 1 Prise Salz 
  • 2 Esslöffel Öl  

Beläge:

  • Hier findet ihr das leckere Rezept für den Aufstrich der wunderbar zu den Pfannkuchen passt.
  • Süsse Beläge eurer Wahl hinzufügen: Früchte (lokale Früchte wie Äpfel und Birnen), Honig, Ahornsirup usw.

Vorbereitung

  1. Alle Zutaten in einer Schüssel mit einem Schneebesen vermischen, bis keine Klumpen mehr vorhanden sind.
  2. Den Teig mindestens 1 Stunde ruhen lassen.  
  3. Teig in eine leicht geölte Pfanne auf mittlerer Flamme giessen. Den Crêpe gleichmäßig auf beiden Seiten braten (nach der Hälfte der Zeit wenden).

Dann wünschen wir euch jetzt eine leckere Belohnung!

Hummus

Der Hummus – eine cremige Paste aus gekochten Kichererbsen – ist ein köstlicher Dip aus dem Nahen Osten und ein perfekter Aperitif. Dieses frische und einfache Rezept für 2 Gläser Hummus wird Ihnen von unserer Botschafterin Dorinda präsentiert.

Zutaten

Wenn immer möglich, sind unsere saisonalen Zutaten lokal, biologisch und unverpackt eingekauft.

  • 400 g Kichererbsen, gekocht und abgetropft
  • 30-50 ml des Kichererbsen-Kochsaftes
  • 2-3 Esslöffel Zitronensaft
  • 2 Esslöffel Tahini (Sesamcreme)
  • 2 Esslöffel Olivenöl + 1 Esslöffel aromatisiertes Öl, nach Geschmack
  • 1 Teelöffel Salz
  • —- Optional —-
  • 1 bis 2 Knoblauchzehen
  • Petersilie, Schnittlauch, Basilikum…

Zubereitung

  1. Die Kichererbsen in kaltem Wasser einweichen. Abdecken und 12 Stunden bei Raumtemperatur stehen lassen.
  2. Kichererbsen abtropfen und in einen Topf mit kaltem Wasser geben. Darauf achten, dass die Pfanne gross genug ist, da 1,5 Mal das Volumens an Wasser hinzugefügt werden muss.
  3. Zum Kochen bringen und die Kichererbsen eine Stunde lang kochen lassen.
  4. Die abgetropften und abgespülten Kichererbsen in einen Mixer geben. Leicht pürieren, den Kochsaft hinzufügen.
  5. Tahini, Zitronensaft, Knoblauch, Kreuzkümmel und Salz hinzufügen. Mit dem Mixen fortfahren und das Olivenöl nach und nach hinzufügen, bis die Masse glatt und cremig ist.
  6. Zum Schluss den Hummus nach Belieben mit Olivenöl, Sesam und Kreuzkümmel würzen. Je nach Lust und Laune hinzufügen: Paprika, Pinienkerne, gerösteter Sesam, Koriander, frischer Schnittlauch.
  7. Sie können auch Basilikumblätter (1/2 Bund oder mehr) oder getrockneten Tomaten (nehmen Sie die mit Olivenöl) hinzufügen. Mit dem Rest der Zubereitung je nach Geschmack mischen.
  8. Hummus ist unendlich variabel und lässt sich sehr gut einfrieren.

Winterrezept: Glühwein mit Gewürzen

Wenn es draussen kalt und eisig ist, geniessen wir eine Spezialität immer wieder gerne: den Glühwein. Ein einfaches, heisses Getränk für kalte Abende! Es kann mit Rot- oder Weisswein zubereitet werden. Hier das Rezept: Sie können den Zuckergehalt selbst bestimmen und wenn Ihnen bestimmt Gewürze nicht schmecken, können Sie sie einfach austauschen!

Zutaten

Wenn immer möglich, sind unsere saisonalen Zutaten lokal, biologisch und unverpackt eingekauft.

  • Eine Flasche trockener lokaler Rotwein (wir empfehlen einen jungen, leichten Wein, Typ Gamay)
  • 1 unbehandelte Orange
  • 1 unbehandelte Zitrone (optional)
  • Verschiedene Gewürze:
    1-2 Stangen Zimt, 3 Gewürznelken, etwas Sternanis, Muskatnuss, Ingwer…
  • 50 g bis 150 g Zucker

Zubereitung

  1. Die Zitrusfrüchte waschen und in Scheiben schneiden, mit dem Zucker und Wein erhitzen, dann zusammen mit den Gewürzen für mindestens 15 min. bei maximal 70°C ziehen lassen. Den Topf mit einem Deckel schliessen, damit die Aromastoffe nicht entweichen. 
  2. Gelegentlich umrühren.
  3. Nochmals 5 bis 10 Minuten warten, bevor Sie den Glühwein heiss mit den Weihnachtsguetzli “Mailänderli” geniessen können.

Tipp

Die Reste der Zitrusfrüchte und Gewürze kompostieren!

Mailänderli – Weihnachts-Mürbegebäck

Der Klassiker und das beliebteste Weihnachtsgebäck der Schweizer. Wir machen sie jedes Jahr zu Weihnachten und essen sie immer gerne.

Zutaten

Für ca. 40 Guetzli

Unsere Zutaten sind – wenn möglich – lokal, biologisch und unverpackt eingekauft.

  • 250 g weiche Butter
  • 200 g Zucker
  • 3 frische Eier
  • 1 Bio-Zitrone
  • 500 g Mehl

Für die offizielle Variante:
– 1 frisches Eigelb

Für die Variante mit Zitronenglasur:
– 150 g Puderzucker*
– 2 EL Zitronensaft

Für die Variante mit Hagelzucker:
– 1 Ei
– etwas Hagelzucker

Zubereitung

  1. Die Butter und den Zucker in einer Schüssel rühren. Ein Ei nach dem anderen hinzufügen und verrühren, bis die Mischung heller wird. Die Zitronenschale raspeln und sie unter die Masse heben.
  2. Das Mehl beifügen, zu einem Teig verrühren, abdecken und mindestens 2 Stunden kühl stellen.
  3. Den Teig portionsweise auf ein wenig Mehl ca. 5 mm dick ausrollen. Mit einer Ausstechform verschiedene Formen ausstechen und auf mit Mehl bestreute Backbleche legen. Ca. 15 Minuten kühl stellen.
  4. Den Ofen auf 200°C vorheizen.
  5. Das Eigelb mit zwei Tropfen Wasser vermischen und die Mailänderli damit bestreichen.
  6. Backzeit: ca. 10 Minuten in der Mitte des Ofens. Herausnehmen, auf einem Drahtgitter abkühlen lassen.

Tipps

  • *Puderzucker selber machen: Den Zucker mit dem Mixer, der Kaffeemühle oder einem Pürierstab ganz fein zerkleinern. Beim Mahlen in einem offenen Behältnis die Öffnung mit einem Küchentuch abdecken. So lange mahlen, bis eine puderige Konsistenz erreicht ist.
  • In einem luftdichten Behälter ca. 2 Wochen lagerfähig.
  • Variante 1: mit Zitronenglasur. Vor dem Backen, nicht mit Ei bestreichen! 150 g Puderzucker mit 2 EL Zitronensaft und eventuell ½ EL Wasser vermischen, um eine dicke Glasur zu erhalten. Zuckerguss auf die noch warmen Guetzli streichen.
  • Variante 2: mit Hagelzucker. Vor dem Backen mit einem verquirltem Ei (Eigelb und Eiweiss) bestreichen, mit Hagelzucker bestreuen. Dann Backen.